Cet 'Esper' ou invocation apparait exclusivement dans le douzième Opus. Il est cependant repris dans certains Spin-off comme Final Fantasy Tactics ou encore la suite du 12, Revenant Wings. Assez difficile a débusquer, il se revéle un adversaire 'docile' malgrès le fait qu'il fait baisser vos PVs constamment. En revanche, comme tout les Invocations de ce chapitre, il ne vous sera pas d'une très grande utilité une fois dans vos rangs. Il n'est vunérable a aucun élément et vous inflige des altérations d'états tout en se Healant avec differentes methodes, dont le sort Soin^4. On dit que Cuchalainn a étè envoyé sur Ivalice par les dieux avec ordre d'absorber toutes les impuretés de ce monde. Mais peu a peu, cette divinité c'est imprégné de l'immondise qui nichait dans ce monde, jusqu'a ce qu'elle devienne le symbole même de l'impureté et de la saleté en tout genre, qui se voit jusque dans son apparence physique. Il a, comme tout les Éons défié les dieux, qui l'ont banni et n'as trouvé pour refuge qu'un autre endroit sordide, les Egouts. Son signe Zodical est le scorpion et il possédé le cardinal Delacroix de l'Église corrompue de Glabados.

Cùchalainn est tout d'abord un des plus importants héros de la mythologie celte, et beaucoup de points le relient a l'éon de FF12. Cùchalainn, 'Garde du chien' en français est le fils du dieu de la lumière, qui a eu cet étrange nom après avoir mis fin aux jours du chien de garde de Culann, le forgeron, qui en a fait le nouveau garde. Par la suite, il est envoyé a la guerre.

Tout d'abord, ce sont tous les deux des geants, et puis, lors de sa première bataille, il tombe dans 'la voie du sang' et devient un tout autre personnage, tout comme notre invocation, il dérive. Et tout comme lui, il retourne vers ses formateurs/créateurs pour mettre fin a leur jours, a la seule difference qu'il y arrive. Et dernièrement, ce n'est surement pas des moindres, les deux Cuchalainn ont un corps chaud, voir brûlant. (Lorsque notre Éon est tué, ont vois dans une cinématique l'eau qui s'évapore partiellement puis totallement).